Naître ne signifie pas "belle vie", loin de là, la vie est obligatoirement compliquée, sinon à quoi servirait-il d'être là ? Malgré les contraintes que nous offre la nature, nous n'avons, tous, qu'une seule vie. Certains ne disent qu'il ne veulent plus être ici, d'autres sont trop vieux pour réfléchir à la question... Et bien moi, j'ai choisi la meilleure des choses: " La vie ne se vit qu'une seule et unique fois, c'est pour cela que chaque moment de ma vie sera plus merveilleux que tous, ainsi je profiterais plus que quiconque de ce que la nature ma offert." C'est pour cela que chaque moment de ma vie sera accompagnée de la meilleure musique adéquate à la situation.

A votre naissance, vos parents sont tellement heureux de vous avoir qu’ils feraient tout pour vous, pour que vous soyez le meilleur de touts les bébés au Monde. Ces parents que vous croyez parfaits, vous vous souvenez ! J’ai pourtant était une petite fille heureuse, amusante, et qui aimait faire n’importe quoi. Bien sur, les parents sont toujours derrière pour dire ce qui est bien ou non, mais malgré leur entente phénoménale, ils ont finis par divorcer deux ans après ma naissance. Pour avoir ma garde, ils ont eu du mal à décider. Je suis finalement resté avec ma mère qui m’a tout appris de A à Z. Plus je grandissais, plus on était inséparable. Mère et Fille. Elle me racontait souvent tout ce que mon père avait pu lui faire après ma naissance. A cette période, j’eu compris ce que mon père désirait de ma mère, l’humilié. Cela m’avait remonté, et je ne désirais plus le revoir. Ma mère m’a appris à tout aimer de la vie et de ce qu’elle nous offrait. J’ai suivi son exemple, tout prendre en positif. Elle m’a d’ailleurs appris à être une sportive. Etant petite j’ai pratiqué beaucoup de sports aussi différents les uns que les autres. Tous m’ont beaucoup plu à vrai dire. Le sport, c’est toujours un moyen pour arriver à se dépasser soi-même, et c’est cela qui m’a beaucoup plus. Je n’avais que 14 ans, et j’étais déjà devenue une sportive affirmée. J’aimais bien le côté mental, et le fait qu’il ne faut jamais abandonner pour y arriver. Ca m’a forgé un caractère de têtue aussi, mais j’ai toujours été une fille qui prendra soin de ses amis et de sa famille, quoi qu’il arrive. Au collège, je n’étais pas la vedette, mais j’aimais me « montrer » aux autres. D’ailleurs, je n’ai pas eu qu’un garçon à mes pieds, mais plutôt des dizaines et des dizaines, aussi collant les uns que les autres. Ma prof de sport m’a toujours encouragé pour que j’aille dans un lycée de sport-études pour que je continue mes études tout en faisant beaucoup plus de sport que d’habitude. Après de longues conversations, ma mère s’était décidée à me faire aller dans une école sport-étude la plus proche, c’est-à-dire à plus de deux heures de route de chez nous.

A u lycée, j’avais l’impression d’être libre comme l’air, sans ma mère derrière moi, et avec ma passion : le sport. Les cours me paraissaient très courts, vu que tous les jours j’avais trois heures de sports. Il fallait une condition physique assez forte. Mais, j’avais appris à me surpasser depuis ma toute douce enfance. Ma mère, elle, m’appelée pratiquement tous les jours, je lui manquais, et vis versa. Je m’améliorais de mieux en mieux, et mes coachs étaient fiers de moi et moi aussi. Je participais à des compétitions très importantes en tout genre, surtout des compétitions nationales et internationales, ou ma mère venait me voir. Elle en pleurait tellement elle était heureuse de me voir comme cela. J’aimais surtout l’athlétisme, je trouvais ce sport u bon moyen pour se dépenser à fond. En plus, cette activité n’était pas qu’un sport, mais plusieurs. Un large choix, les sauts, courses et lancers. L’internat était super bien en plus de cela. Il y avait deux internats séparés, un pour les garçons et un autre pour les filles. Et comme disaient les dirigeants du lycée : « On préfère faire comme cela, si jamais des parasites avaient l’intention de venir dans le dortoir inverse. » Même si des fois, des garçons venaient dormir avec nous, sans que personne ne s’en rende compte. On s’amusait bien en tout cas. Tant que mes résultats scolaires suivaient le reste, ma mère m’autorisait à rester là-bas. Mais les années lycée ne durent pas toute une vie, malheureusement je devrais dire. Moi, je n’ai pas eu beaucoup de problèmes à trouver ou j’allais aller, car une personne m’avait remarqué pour que j’aille dans une école spécialisée en sports, cette école était à Chicago. Du coup je n’ai pu refuser et ma mère de même, à ce moment elle a su que je devais prendre mon envol et qu’elle devait arrêter de me chouchouter pour que je prenne mon envol à Chicago, cette belle et grande ville.

A Chicago, j’ai de suite était super bien accueillie, les personnes étaient génialissime. Cette ville réserve de grandes surprises, car, moi-même, j’ai été la première surprise, je ne croyais pas que la ville avait différentes facettes. J’ai d’ailleurs de suite eu beaucoup d’amis et plusieurs conquêtes, cela ne fait que 3 ans que je suis à Chicago, mais je m’y plais déjà, je voudrais d’ailleurs que je vive dedans pour le future. Mais ne faisons pas de prédilections de ce genre, nous ne somme pas la pour cela bien sur. Bref, je me suis de plus en plus amélioré, et atteint des sommets extraordinaires. C’est d’ailleurs ici, que j’ai découvert une autre passion qui m’était pratiquement inconnue pour moi pour l’instant. J’ai pris des cours pour découvrir le métier d’actrice, et j’ai de suite apprécié. C’est pour cela qu’ne ce moment, je joue dans certains films, j’ai déjà eu des rôles principaux, et déjà embrassée de beaux acteurs, et oui ! Du coup, j’ai encore un programme plus chargé qu’avant, plus que je me consacre, au sport et aux films. Quelle vie je vie ! J’espère continuer à faire ces deux choses plus tard pour pouvoir m’améliorer et devenir quelqu’un d’extraordinaire, car tout le monde à beaucoup de qualités, il suffit juste de les découvrir…